couverture

Petit caillou de la mémoire (Le)

Durand, Monique

  • Éditeur : MÉMOIRE D'ENCRIER
  • Collection : Roman
  • 202 pages
  • ISBN 9782897123338
  • Paru le 29 février 2016
  • 21,95 $ *
  • Littérature québécoise

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Le petit caillou de la mémoire, c’est l’homme face à la nature démesurée. C’est William de la mer et des forêts profondes, qui pêche des saumons, abat des arbres, aime des femmes, cuit au soleil lent de sa vie. Une ode aux gens simples, aux défricheurs. Écriture somptueuse et grâce tranquille, le roman nous entraîne de Saint-Suliac sur Rance aux bords de mer gaspésiens, en passant par Terre-Neuve.

Biographie de l'auteur.e

Monique Durand a été journaliste et réalisatrice à Radio-Canada de 1982 à 2004. Aujourd’hui journaliste indépendante, elle sillonne la planète pour écrire des articles principalement destinés au Devoir. En 2011, elle a été finaliste du Prix Judith-Jasmin, dans la catégorie « Grand reportage », pour une série d’articles sur le Nord québécois. En 2014, le Conseil supérieur de la langue française du Québec lui a décerné le prix Jules-Fournier pour l’ensemble de son œuvre dans la presse écrite québécoise.Elle a publié un recueil de nouvelles, Eaux (1999) et un roman, La Femme du peintre (2003, finaliste du Prix Anne-Hébert du Premier Roman au Salon du livre de Paris, en 2004 et finaliste du Prix de la Romancière francophone Soroptimist à Grenoble), qui ont tous deux paru aux éditions du Serpent à Plumes et ont été encensés par la critique, aussi bien en France qu’au Canada. Elle a aussi fait paraître en 2012 un livre de récits intitulé Carnets du Nord, publié avec le GRÉNOC (Groupe de recherche sur l’écriture nord-côtière) à Sept-Îles. Le petit caillou de la mémoire est son quatrième ouvrage littéraire.

Quatrième de couverture

J’ai souhaité raconter un peu de cette race d’hommes et de femmes en bois dur en train de disparaître, déjà disparue sous les coups de boutoir des temps qui changent et qui bouleversent tout de nos êtres et de nos us. Simplement dire qu’elle fut, avec ses grandeurs et ses misères. Quelque chose de nous s’éteint avec elle. J’ai aussi voulu raconter, par la médiation d’un petit caillou, la transmission d’une génération à l’autre de la folle furieuse faim de vivre, du sens de la beauté du monde et de la nostalgie, le plus humain des sentiments.Monique Durand