couverture

Mettre la mort à l'agenda

Récits de fin de vie

Bédard, Antoine

  • Éditeur : Atelier 10
  • Collection : Documents
  • ISBN 9782897596828
  • Paru le 2 mars 2023
  • 15,95 $ *
  • Philosophie

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Un peu moins d’un an après la prise d’effet de la Loi concernant les soins de fin de vie, Denis Bédard, médecin en soins palliatifs, meurt dans son salon entouré de ses proches. On vient de lui administrer l’aide médicale à mourir. Comment celui qui croyait dur comme fer en la capacité de la médecine à assurer une mort sans souffrance, et qui a lui-même accompagné des centaines de malades vers leur dernier repos, en est-il venu à opter pour l’euthanasie ?

On se démène pour mener la plus belle vie possible. Ne serait-il pas aussi temps de s’assurer de la plus belle mort possible?

Biographie de l'auteur.e

Musicien, auteur-compositeur, concepteur sonore, créateur de parcours audioguidés et d’applications mobiles, Antoine Bédard est un artiste touche-à-tout. Après avoir composé une musique électropop contemplative sous le nom de Montag, il élargit ses horizons musicaux en signant la trame sonore originale de plus d’une quarantaine de productions artistiques en tous genres, du théâtre à la danse, en passant par le cinéma et des oeuvres d’art public.

Quatrième de couverture

Un peu moins d’un an après la prise d’effet de la Loi concernant les soins de fin de vie, le docteur Denis Bédard meurt dans son salon, entouré de ses proches. On vient de lui administrer l’aide médicale à mourir. Médecin en soins palliatifs, il a lui-même accompagné des centaines de malades vers leur dernier repos. Mais comment celui qui croyait dur comme fer en la capacité de la médecine à assurer une mort sans souffrance en est-il plutôt venu à opter pour l’euthanasie? C’est pour comprendre, et peut-être enfin accepter, l’ultime choix de son père que l’auteur part ici sur ses traces, de la prise en charge de son premier patient en soins palliatifs aux derniers adieux dans la maison familiale. Avec humilité, il partage ce qu’il a appris sur lui et de lui, sur son métier, puis entre les lignes, sur notre rapport collectif à la mort à travers des récits de vies qui s’éteignent. On se démène pour mener la plus belle vie possible. Ne serait-il pas aussi temps de s’assurer de la plus belle mort possible?.