* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Les changements climatiques entrainent des bouleversements qui frappent l’imaginaire et font les manchettes. Mais certains impacts sont plus subtils, plus intimes: la perte de la neige en décembre, par exemple, ou celle de l’odeur d’une fleur qui embaumait jadis nos étés. Ce deuil des paysages disparus ou transformés a un nom: solastalgie. Dans cet essai, Catherine D’Amours ancre ce concept encore neuf dans le territoire québécois, sur les battures du Saint-Laurent comme dans les ruelles de Montréal. Portée par une quête de beauté, l’autrice mène une lutte contre l’amnésie collective, cette posture d’ignorance volontaire qui nous permet de mettre l’écoanxiété en sourdine.
Catherine D’Amours est professeure-chercheure à l’École de design de l’UQAM, artiste multidisciplinaire et maman. Les paysages intérieurs est son premier livre. Elle est aussi artiste visuelle et designer graphique et a réalisé les illustrations de son propre livre.
Les changements climatiques entrainent des bouleversements qui frappent l’imaginaire et font les manchettes. Mais certains impacts sont plus subtils, plus intimes: la perte de la neige en décembre, par exemple, ou celle de l’odeur d’une fleur qui embaumait jadis nos étés. Ce deuil des paysages disparus ou transformés a un nom: solastalgie. Dans cet essai, Catherine D’Amours ancre ce concept encore neuf dans le territoire québécois, sur les battures du Saint-Laurent comme dans les ruelles de Montréal. Portée par une quête de beauté, l’autrice mène une lutte contre l’amnésie collective, cette posture d’ignorance volontaire qui nous permet de mettre l’écoanxiété en sourdine. Elle tente ici de trouver un autre vocabulaire pour aborder cette crise qui nous remplit d’angoisse..