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« Où regarder encore ? » Ainsi se termine « Je demande pardon à l’espèce qui brille », le deuxième tome des « Grands cimetières » ; par là est venu « Ma tête est forte de celle qui danse ». Hantés par un je peux qui prend feu, prend froid, creuse, s’élance, se retourne et tremble, les poèmes de ce livre se veulent à la fois soulèvement d’une langue face aux craintes ou aux vœux, et mouvement qui cherche à prendre ensemble les transparences et les opacités du monde afin que tout se perde et que tout s’ouvre aux commencements.
Martine Audet a publié, depuis 1996, une douzaine de livres de poésie, principalement aux Éditions du Noroît et à l’Hexagone, ainsi que deux albums pour enfants. Certains de ses poèmes ont été traduits en anglais, catalan, espagnol, italien, tchèque. Entre autres distinctions, elle a reçu les prix Alain-Grandbois et Estuaire et a été finaliste à de nombreux prix dont le Gouverneur Général et le Grand prix du livre de la Ville de Montréal. Elle est membre de l’Académie des lettres du Québec.AU NOROÎT, elle a publié Ma tête est forte de celle qui danse (2016), Tête première / dos / contre dos (2014, finaliste au Prix du Gouverneur général), Des voix stridentes ou rompues (2013, finaliste au Grand prix du livre de la Ville de Montréal et finaliste au Prix du festival de la poésie de Montréal), Orbites (2000 [2011], prix Alain-Grandbois de l’Académie des lettres du Québec, prix Terrasses St-Sulpice de la revue Estuaire et finaliste au Prix du Gouverneur général), Doublures (1998) et Les murs clairs (collection «Initiale», 1996). Elle a également publié Beaucoup, un livre d’artiste réservé aux membres du Club des ami.e.s du Noroît (2017, collection «Orphanos»).