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Dans «Mes souliers me font mourir», la poète Robyn Sarah se penche sur le temps qui passe, la fugacité des rêves et le plaisir doux-amer de penser au « trésor » qu’est le passé. Musical, méditatif, chaleureux et étonnamment drôle – ce que la traduction de Rémi Labrecque rend à merveille – il en va d’un recueil à l’écriture réparatrice et émouvante de l’une des poètes canadiennes les plus réputées.
Robyn Sarah a écrit sept recueils de poèmes, deux recueils de nouvelles et, plus récemment, un ensemble d’essais portant sur la poésie. Ses écrits ont été publiés à travers le Canada et les États-Unis, et certains d’entre eux ont été traduits en français dans les revues Ellipse, Contre-jour et La Traductière (Paris). En 2005, elle a participé au Festival franco-anglais de poésie à Paris et à l’événement Oxfam Poetry Series à Londres.AU NOROÎT, elle a publié «Mes souliers me font mourir» traduit par Rémi Labrecque (coll. Latitude, 2019) et «Le tamis des jours», traduit par Marie Frankland (coll. Latitude, 2007).
Dans «Mes souliers me font mourir», la poète Robyn Sarah se penche sur le temps qui passe, la fugacité des rêves et le plaisir doux-amer de penser au « trésor » qu’est le passé. Musical, méditatif, chaleureux et étonnamment drôle – ce que la traduction de Rémi Labrecque rend à merveille – il en va d’un recueil à l’écriture réparatrice et émouvante de l’une des poètes canadiennes les plus réputées.