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Cet essai peut peut être lu comme une ode à la vie et à l’histoire littéraire, à « l’autre parole », celle de la poésie québécoise actuelle, particulièrement celle des femmes poètes et de leurs thématiques. Le poème didactique est ici une dilecture (dilection et lecture), selon ladéfinition du poète français Guy Goffette : la mise en abyme d’une oeuvre qu’on admire, par citations, descriptions, aspects particuliers ou essais de synthèse de l’oeuvre. Jean Royer aborde aussi dans ce livre ce qu’on appelle le poétique en général, et la mélancolie, thème fondateur des cultures, concluant avec « l’élan d’écrire » et un regard sur l’héritage de la modernité. Cet essai personnel, didactique et ludique à la fois, dédié à différents aspects et visages de la poésie, compose le 4e volume du cycle de L’arbre du veilleur.Comme l’ensemble de la poésie, le poème didactique a pour mission d’éclairer notre regard vers les choses et de questionner notre destin.
Jean Royer est le premier directeur d’Estuaire, revue qu’il a fondée avec d’autres en mai 1976. Il a publié depuis 1966 une vingtaine de livres de poésie, dont Le poème debout (Hexagone). Il a aussi publié des récits, des essais, des entretiens ainsi que des anthologies dont Le Québec en poésie (Gallimard). Journaliste depuis 1963, il a été nommé en 1978 responsable des pages culturelles et littéraires du quotidien Le Devoir. Puis, de 1991 à 1998, il été directeur littéraire des Éditions de l’Hexagone. Il a ensuite présidé la Rencontre québécoise internationale des écrivains et l’Académie des lettres du Québec. En 2014, il a reçu pour l’ensemble de son oeuvre et de son parcours le prix Athanase-David.AU NOROÎT, il a publié L'autre parole (coll. «Chemins de traverse», 2019), Avant l’autre nuit (2015), La fêlure, la quête (coll. «Chemins de traverse», 2015), La voix antérieure. Paysages et poétiques (coll. «Chemins de traverse», 2014), L’arbre du veilleur. Aspects de la poésie (coll. «Chemins de traverse», 2013), L’amour même (2007), Au seuil de l’inespérable (2004), Poèmes de veille (2002) et Jours d’atelier (1984). En outre, un choix de ses poèmes présenté par Paul Chanel Malenfant est paru sous le titre Nos corps habitables (coll. «Ovale», 2001).
Cet essai peut peut être lu comme une ode à la vie et à l’histoire littéraire, à « l’autre parole », celle de la poésie québécoise actuelle, particulièrement celle des femmes poètes et de leurs thématiques. Le poème didactique est ici une dilecture (dilection et lecture), selon la_x000D_définition du poète français Guy Goffette : la mise en abyme d’une oeuvre qu’on admire, par citations, descriptions, aspects particuliers ou essais de synthèse de l’oeuvre. Jean Royer aborde aussi dans ce livre ce qu’on appelle le poétique en général, et la mélancolie, thème fondateur des cultures, concluant avec « l’élan d’écrire » et un regard sur l’héritage de la modernité. Cet essai personnel, didactique et ludique à la fois, dédié à différents aspects et visages de la poésie, compose le 4e volume du cycle de L’arbre du veilleur._x000D_Comme l’ensemble de la poésie, le poème didactique a pour mission d’éclairer notre regard vers les choses et de questionner notre destin.