couverture

Une longue phrase jusqu'à ma disparition

Thibault, Martin

  • Éditeur : LE NOROÎT
  • 84 pages
  • ISBN 9782897661779
  • Paru le 8 avril 2019
  • 20,00 $ *
  • Poésie

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Résumé

Dans ce livre à la fois sombre et lumineux, le poète se demande comment vivre quand le bruit inquiétant du monde et d’une maladie incurable l’emporte sur celui du muscle cardiaque. Quoi faire pour retrouver l’appétit et la soif, le désir de vivre amoureusement ?Pour tenter d’y répondre, le poète invite à regarder sous les bateaux, les gros comme les petits, pour voir si l’eau est la même. À s’étendre sur le dos parmi les grands arbres de la forêt pour se sentir en paix. À retourner à l’amour et à l’enfance de ses plus grands projets. Un des siens : ne pas avoir peur de la vie. Aller à quatre pattes puis se tenir debout, se mettre à marcher, danser, courir sur du papier. Manger des mots pour survivre.

Biographie de l'auteur.e

Martin Thibault est poète, romancier, nouvelliste et auteur dramatique. En 2007, il a publié Paroles de l’intériorité, dialogue autour de la poésie, en collaboration avec le philosophe Pierre Bertrand, aux Éditions Liber. Il a été Poète de la Cité du Conseil des arts de Montréal de septembre 2013 à juin 2015. En septembre 2015, il a participé à cinq représentations du spectacle Les saisons de Montréal, de l’orchestre de chambre I Musici, à titre de poète invité et de lecteur public.AU NOROÎT, il a publié Les yeux sur moi ([1999] 2009, prix Jovette-Bernier), Un oiseau moqueur sur l’épaule (2008), Sur le chemin Marchant (coll. «Lieu dit», 2005), Un radeau de papier (2004), La totalité du paysage (2001), Dans l’eau de l’autre (1997) et Haut-fond (coll. «Initiale», 1995).

Quatrième de couverture

Dans ce livre à la fois sombre et lumineux, le poète se demande comment vivre quand le bruit inquiétant du monde et d’une maladie incurable l’emporte sur celui du muscle cardiaque. Quoi faire pour retrouver l’appétit et la soif, le désir de vivre amoureusement ?_x000D__x000D_Pour tenter d’y répondre, le poète invite à regarder sous les bateaux, les gros comme les petits, pour voir si l’eau est la même. À s’étendre sur le dos parmi les grands arbres de la forêt pour se sentir en paix. À retourner à l’amour et à l’enfance de ses plus grands projets. Un des siens : ne pas avoir peur de la vie. Aller à quatre pattes puis se tenir debout, se mettre à marcher, danser, courir sur du papier. Manger des mots pour survivre.