couverture

Dire vrai du poème (Le)

Chamberland, Paul

  • Éditeur : LE NOROÎT
  • Collection : Chemins de traverse
  • 180 pages
  • ISBN 9782897661816
  • Paru le 6 mai 2019
  • 25,00 $ *
  • Essais

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Par cette réflexion qui laisse une large place à la liberté et auxcontradiction, Paul Chamberland argumente une réflexion fertile et pertinente sur les enjeux actuels de la poésie, mais aussi bien de la littérature et de l’échec du monde à se poursuivre dans la novlangue.Car celui qui écrit le poème met en suspens toute autre visée que celle de faire entendre, en un fragment, mais alors selon toutes ses virtualités, ce qui fait de nous des «parlants». Nous sommes des êtres dans le monde, et le monde n’est ni intelligible ni figurable autrement qu’interprété par le langage.

Biographie de l'auteur.e

Paul Chamberland, né à Longueuil en 1939, a fait des études en philosophie et en littérature. Il a enseigné dans des établissements d’études collégiales et supérieures, dont l’Université du Québec à Montréal, de 1992 à 2004. Auteur de recueils de poèmes et d’essais, il a régulièrement participé à des lectures de poésie ou à des colloques universitaires au Québec et à l’étranger. Il est membre de l’Académie des lettres du Québec depuis 2006 et son oeuvre a été récompensée par le prix Athanase-David en 2007.AU NOROÎT, il a publié Le dire vrai du poème (2019, collection Chemins de traverse), Le fruit tombé de l’arbre (2017), Comme une seule chair (2009), Au seuil d’une autre terre (2003, Prix de la Société des écrivains francophones d’Amérique) et Intime faiblesse des mortels (1999, Prix Terrasses Saint-Sulpice de la revue Estuaire).

Quatrième de couverture

Par cette réflexion qui laisse une large place à la liberté et auxcontradiction, Paul Chamberland argumente une réflexion fertile et pertinente sur les enjeux actuels de la poésie, mais aussi bien de la littérature et de l’échec du monde à se poursuivre dans la novlangue._x000D__x000D_Car celui qui écrit le poème met en suspens toute autre visée que celle de faire entendre, en un fragment, mais alors selon toutes ses virtualités, ce qui fait de nous des «parlants». Nous sommes des êtres dans le monde, et le monde n’est ni intelligible ni figurable autrement qu’interprété par le langage.