couverture

Florence, jusqu'au bout du bleu

Bernier, Mélina

  • Éditeur : LE NOROÎT
  • 110 pages
  • ISBN 9782897662431
  • Paru le 24 août 2020
  • 21,00 $ *

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Résumé

«Ces jours où mon esprit traînait parmi les êtres de plâtre, les animaux et les figures de la mort. » Et si Florence, la ville italienne, célèbre pour son architecture et ses oeuvres d’art, était cette escale bouleversante où découvrir les chemins d’une initiation à la mort et à la vie? Aller jusqu’au bout du bleu forme le récit de ce recueil comme une tentative de toucher l’infini. Une subjectivité concrète s’avance, confrontée aux beautés et à la ruine, dans la blancheur d’un soleil qui contraste avec la profondeur d’une nuit bleue pétrole où nichent les poèmes aiguisés au néant de Florence, jusqu’au bout du bleu. Tourmentée par des visions, appelée par l’ouverture créée par l’art, mais pourtant « petite parmi les pierres », c’est bien le voyage d’une poète qui s’anime; une utopie dans sa nudité, à travers la marche jusqu’à l’envol dans un espace sans limites.

Biographie de l'auteur.e

Mélina Bernier a écrit les poèmes à la forme brève du recueil Amour debout (La Peuplade, 2012) où l’errance dans la dévastation transforme au passage les débris en renaissances. Mélina a publié des essais (Éditions du remue-ménage, Estuaire) et codirigé un ouvrage universitaire, La recherche communautaire VIH/sida : des savoirs engagés, paru en 2015 aux Presses de l’Université du Québec.AU NOROÎT, Florence, jusqu’au bout du bleu (2020) est son premier recueil.

Quatrième de couverture

«Ces jours où mon esprit traînait parmi les êtres de plâtre, les animaux et les figures de la mort. » Et si Florence, la ville italienne, célèbre pour son architecture et ses oeuvres d’art, était cette escale bouleversante où découvrir les chemins d’une initiation à la mort et à la vie? Aller jusqu’au bout du bleu forme le récit de ce recueil comme une tentative de toucher l’infini. Une subjectivité concrète s’avance, confrontée aux beautés et à la ruine, dans la blancheur d’un soleil qui contraste avec la profondeur d’une nuit bleue pétrole où nichent les poèmes aiguisés au néant de Florence, jusqu’au bout du bleu. Tourmentée par des visions, appelée par l’ouverture créée par l’art, mais pourtant « petite parmi les pierres », c’est bien le voyage d’une poète qui s’anime; une utopie dans sa nudité, à travers la marche jusqu’à l’envol dans un espace sans limites.