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De ce monde ouvre sur des aspects complémentaires de l’écriture de Louise Warren, de 2004 à 2020 : la chronique brève et la prose dédiée à un thème, incluant de nombreux inédits. Chaque volet accueille les oeuvres d’autres artistes, les lieux, le voyage, le souvenir, la lecture. Ainsi se tissent les fils de son appartenance au monde, dans sa multiplicité, dans sa diversité, de la vie simple aux échos de la planète, de la création à l’amitié et à la solidarité. Traversée par une même expérience de l’intime et du langage, la réflexion s’approfondit, jusqu’aux recherches récentes sur la matière et l’incertitude.Cet essai inclut le texte « Au nom de la matière » qui accompagne l’exposition du même titre au Musée d’art de Joliette, présentée du 15 août 2020 au 10 janvier 2021, dont Louise Warren est commissaire.
Poète et essayiste, Louise Warren poursuit une réflexion sur les arts et la création dans une suite d’essais, dont La vie flottante. Une pensée de la création, paru aux éditions du Noroît. Elle participe régulièrement à des événements internationaux et a reçu plusieurs prix et mentions, dont le prix du CALQ Créatrice de l’année dans Lanaudière en 2018. Elle est commissaire de l’exposition Au nom de la matière au Musée d’art de Joliette, présentée du 15 août 2020 au 10 janvier 2021. Vous êtes invités à visiter le site www.louisewarren.com.AU NOROÎT, elle a publié De ce monde (collection «Chemins de traverse», 2020), Le livre caché de Lisbonne (collection «Lieu dit», 2019), L’enveloppe invisible (collection «Lieu dit», 2018, Prix Créatrice de l’année des Grand prix Desjardins du CALQ), Le plus petit espace (2017) et La vie flottante. Une pensée de la création (collection «Chemins de traverse», 2015, Prix littérature des Grands Prix Desjardins de la culture de Lanaudière, Prix Ambassadeur Télé-Québec et finaliste au Prix du Gouverneur général).
De ce monde ouvre sur des aspects complémentaires de l’écriture de Louise Warren, de 2004 à 2020 : la chronique brève et la prose dédiée à un thème, incluant de nombreux inédits. Chaque volet accueille les oeuvres d’autres artistes, les lieux, le voyage, le souvenir, la lecture. Ainsi se tissent les fils de son appartenance au monde, dans sa multiplicité, dans sa diversité, de la vie simple aux échos de la planète, de la création à l’amitié et à la solidarité. Traversée par une même expérience de l’intime et du langage, la réflexion s’approfondit, jusqu’aux recherches récentes sur la matière et l’incertitude.Cet essai inclut le texte « Au nom de la matière » qui accompagne l’exposition du même titre au Musée d’art de Joliette, présentée du 15 août 2020 au 10 janvier 2021, dont Louise Warren est commissaire.
