* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Poursuivant le projet amorcé avec le recueil Ta voix là (2015) autour de l’écrivain italien Mario Luzi, La langue de ta langue s’appuie sur les univers singuliers de Roberto Juarroz (1925-1995), Arnaldo Calveyra (1929-2015), Silvia Baron Supervielle (1934-) et Jorge Luis Borges (1899-1986) pour interroger le fil de l’existence depuis les mouvements du corps et de la langue. Les poèmes prennent la forme d’un dialogue fait d’allers-retours entre les textes, le carnet, la rêverie, les déambulations dans Buenos Aires, la table de travail, et tout ce qui participe à faire apparaître, disparaître, puis réapparaître une parole qu’on pétrit dans la patience des jours pour faire surgir une certaine langue, au milieu de celle qu’on partage, qui puisse répondre à ce que la poésie interpelle en soi. D’un hémisphère à l’autre, l’Argentine se transforme en une expérience qui interroge les lieux intimes que seule l’écriture peut visiter.
Marc André Brouillette est l’auteur de plusieurs recueils de poésie et livres d’artistes; ses textes ont été publiés dans des ouvrages collectifs, des anthologies, des manuels scolaires et des revues. Il participe régulièrement à des résidences d’écriture, à des lectures publiques et à des rencontres littéraires au Québec, au Canada et à l’étranger. Il a dirigé plusieurs dossiers de périodique traitant de l’écriture et de la poésie, et a traduit en français des poètes étrangers (Italie, Corée, Allemagne, Canada et Pologne).Professeur au Département d’études littéraires de l’UQAM, il a aussi publié une étude intitulée Spatialité textuelle dans la poésie contemporaine. Gilles Cyr, Jean Laude et Anne-Marie Albiach (Nota Bene, 2010), le collectif Des textes dans l’espace public (Éditions du passage, 2014) ainsi que l’anthologie La création littéraire en mouvement. Approches réflexives (PUQ, 2019); il est responsable du site [plepuc.org] voué aux oeuvres littéraires dans l’espace public canadien.AU NOROÎT, il a publié La langue de ta langue (2021), Ta voix là (2015), M’accompagne (2005, Prix Louis-Guillaume du poème en prose, finaliste au Prix du Gouverneur général, finaliste au Prix Émile-Nelligan), Vent devant (2001), Carnets de Brigance (1994, Prix littéraire Desjardins de la poésie) et Les champs marins (1991).
Poursuivant le projet amorcé avec le recueil Ta voix là (2015) autour de l’écrivain italien Mario Luzi, La langue de ta langue s’appuie sur les univers singuliers de Roberto Juarroz (1925-1995), Arnaldo Calveyra (1929-2015), Silvia Baron Supervielle (1934-) et Jorge Luis Borges (1899-1986) pour interroger le fil de l’existence depuis les mouvements du corps et de la langue. Les poèmes prennent la forme d’un dialogue fait d’allers-retours entre les textes, le carnet, la rêverie, les déambulations dans Buenos Aires, la table de travail, et tout ce qui participe à faire apparaître, disparaître, puis réapparaître une parole qu’on pétrit dans la patience des jours pour faire surgir une certaine langue, au milieu de celle qu’on partage, qui puisse répondre à ce que la poésie interpelle en soi. D’un hémisphère à l’autre, l’Argentine se transforme en une expérience qui interroge les lieux intimes que seule l’écriture peut visiter.