couverture

Tu disparaîtras en même temps que la mer, suivi de Ciels

Leclerc, Michel

  • Éditeur : Éditions du Noroit
  • ISBN 9782897664695
  • Paru le 24 février 2025
  • 20,95 $ *
  • Poésie

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Résumé

Dans ce nouveau recueil de Michel Leclerc, la disparition de la mère inaugure un dialogue inattendu entre un présent usé et un passé brouillé par l’imaginaire. Délivré de l’enfance, l’endeuillé contemple enfin, dans la seconde partie, les vastes Ciels qui errent incertains au-dessus des arbres sans racines, d’un monde au plus près de l’obscurité.

Biographie de l'auteur.e

Michel Leclerc est né à Montréal et vit à Québec depuis 1989. Après des études universitaires à Montréal, puis à Bordeaux, il a poursuivi des études de doctorat en sociologie des sciences à l’Université de Montréal. Il a collaboré aux revues Estuaire, Liberté, Possibles et a publié une quarantaine d’articles scientifiques dans des revues nationales et internationales. Auteur d’une quinzaine d’ouvrages, il a été finaliste au prix du Gouverneur général du Canada (1982) et au prix Alain-Grandbois (2005) de l’Académie des lettres du Québec. Une rétrospective de son œuvre poétique est parue au Noroît en 2017 : Des mots au bord de la nuit.

Quatrième de couverture

Que devient le territoire de l’enfance quand la mère s’éteint ? Une terre poussiéreuse, un ciel sans étoiles, une pierre tombée au plus bas ? Ou plutôt une longue nuit où l’enfant d’hier déterre et réinvente l’argile de la mémoire ? Dans Tu disparaîtras en même temps que la mer, les poèmes émergent dans l’antichambre du deuil, dans la lumière clignotante des souvenirs et de leur effacement. Du bout des doigts, le narrateur touche les contours effrités de la mort avant de se fondre dans le cri de l’écriture – lieu où se rompent les chaînes de la nostalgie. Car l’enfance n’est plus que l’exil insensé de la vieillesse, un refuge depuis longtemps perdu.. Dans ce nouveau recueil de Michel Leclerc, la disparition de la mère inaugure un dialogue inattendu entre un présent usé et un passé brouillé par l’imaginaire. Délivré de l’enfance, l’endeuillé contemple enfin, dans la seconde partie, les vastes Ciels qui errent incertains au-dessus des arbres sans racines, d’un monde au plus près de l’obscurité..