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Montréal a accueilli la plus grande base de services secrets étrangers de la Confédération pendant la guerre de Sécession. Envahie de réfugiés, de soldats de fortune, d’espions, d’assassins, de banquiers et de contrebandiers, Montréal était une ville pro-sécessionniste. Depuis les grands hôtels de la ville, des complots de toutes sortes sont ourdis, dont le tristement célèbre raid de St. Albans et l’enlèvement de Lincoln, qui s’est transformé en assassinat. S’appuyant sur des recherches dans les archives et sur ses précédents ouvrages consacrés à la guerre de Sécession, Barry Sheehy remet en question les principes fondamentaux du récit de la guerre de Sécession.
Barry Sheehy est l’auteur de six livres. Ses écrits ont été publiés dans des revues du monde entier. Né et élevé à Montréal, Barry Sheehy partage son temps entre Gabarus, en Nouvelle-Écosse, et Savannah, en Géorgie.
Durant la guerre de Sécession, Montréal a accueilli la plus grande base des services secrets confédérés. Les banques de la ville et d'autres institutions financières canadiennes ont financé des activités clandestines et ont tenté de déstabiliser l'économie nordiste. Envahie de réfugiés, de mercenaires, d'espions, d'assassins et de contrebandiers, Montréal était une ville pro-sécessionniste. C'est d'ailleurs là que s'est réfugié le président sudiste Jefferson Davis à la fin du conflit. Dans les grands hôtels de la ville se sont ourdis des complots de toutes sortes, dont l'enlèvement de Lincoln qui s'est transformé en assassinat. On a retrouvé dans la poche du manteau du tireur une traite bancaire signée par le banquier montréalais et futur maire Henry Starnes. S'appuyant sur des recherches d'archives originales et sur ses précédents livres, Barry Sheehy remet en question les principaux éléments de la narration de la guerre civile américaine. Le tout est accompagné de nombreuses photos du célèbre William Notman.