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Cet ouvrage retrace l’évolution de la transmission des connaissances de patron à clerc et plus tard, à l’organisation systémique d’un enseignement universitaire essentiel au développement de connaissances spécialisées nécessaires à la préparation des médicaments et à leur utilisation optimale. À travers 17 chapitres thématiques, le lecteur est invité à découvrir la première école de pharmacie de l’Université Laval à Montréal, les nombreuses demandes pour devenir faculté, les premiers stages cliniques dans les années 1970, le rôle des étudiants dans l’évolution du curriculum, la révolution féminine, et plus récemment l’arrivée des pharmaciens « docteurs ».
Gilles Barbeau détient baccalauréat en pharmacie de l’Université Laval et un doctorat en pharmacie de troisième cycle de la Faculté de Pharmacie de l’Université de Bordeaux (France). En 1971, il devient professeur à l’École de pharmacie de l’Université Laval. Il occupe plusieurs postes dont celui de directeur du certificat en gérontologie et celui de doyen de la Faculté de pharmacie. Retraité depuis 2001, l’Université Laval lui décernera en 2004 le titre de professeur émérite. En 2018, il publie « Curieuses histoires d’apothicaires » qui raconte des découvertes faites par des pharmaciens et poursuit entre temps son enseignement à la Faculté de pharmacie et à l’Université du troisième âge.
Cet ouvrage retrace l’évolution de la transmission des connaissances de patron à clerc et plus tard, à l’organisation systémique d’un enseignement universitaire essentiel au développement de connaissances spécialisées nécessaires à la préparation des médicaments et à leur utilisation optimale. À travers 17 chapitres thématiques, le lecteur est invité à découvrir la première école de pharmacie de l’Université Laval à Montréal, le long règne du directeur Marquis et ses démêlés avec l’administration universitaire, le sauvetage de l’École de la fermeture par un doyen de pharmacie français, les nombreuses demandes pour devenir faculté, les premiers stages cliniques et les échanges savoureux entre la direction et les chefs de départements de pharmacie dans les années 1970, le rôle des étudiants dans l’évolution du curriculum, la révolution féminine, et plus récemment l’arrivée des pharmaciens « docteurs ».