* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Les huit nouvelles de Cheptel explorent les liens, plus ou moins harmonieux, entre humains et animaux. Du récit imaginaire à l’autofiction, en passant par la docufiction, les textes d’Amélie Hébert, avec leurs personnages incarnés, forment une œuvre empreinte de sensibilité et d’amour, mais aussi de dureté et de tragique. Avec un clin d’œil à La ferme des animaux de George Orwell et dans un style élégant qui rappelle celui d’Anne Hébert, Cheptel nous plonge au cœur des enchevêtrements complexes du vivant.
Amélie Hébert enseigne la littérature et le français. Elle a publié Les grandes surfaces (Le lézard amoureux, 2018), un recueil de poésie explorant les notions de territoire et d’appartenance. Elle est à la fois taureau et chèvre, mais souhaiterait par-dessus tout être un chat. Cheptel est son deuxième livre.
« J’avais beau avoir étudié les animaux et vouloir en être un plus que tout, je m’apercevais que je ne savais en fait rien d’eux, tout simplement parce que j’étais et demeurerais humaine. ». Les huit nouvelles de ce livre explorent les liens, plus ou moins harmonieux, entre humains et animaux. Du récit imaginaire à l’autofiction, en passant par la docufiction, les textes d’Amélie Hébert, avec leurs personnages incarnés, forment une œuvre empreinte de sensibilité et d’amour, mais aussi de dureté et de tragique. Avec un clin d’œil à La ferme des animaux de George Orwell et dans un style élégant qui rappelle celui d’Anne Hébert, Cheptel nous plonge au cœur des enchevêtrements complexes du vivant..