Et j'ai dit non, 1. Judith

Une nouvelle série en deux tomes qui nous permet de voir, de l’intérieur, l’impact de la pandémie sur notre société et sur ceux qui ont été le plus touchés : nos aînés. Mais attention, l’auteure vedette, plutôt que nous faire « revivre » la pandémie, l’utilise en toile de fond pour nous faire connaître des personnages fabuleux, dans un contexte familial particulier comme elle seule sait si bien le faire !

Mère de neuf enfants, peintre, écrivaine prolifique, Louise Tremblay d’Essiambre, l’auteure aux deux millions d’exemplaires vendus, habite Lanaudière. Avec au compteur dix séries mémorables et 56 romans, elle est l’écrivaine québécoise la plus lue, tout simplement – en librairie comme en bibliothèque publique.

Une toute nouvelle série en deux tomes dans laquelle Louise Tremblay d’Essiambre revisite un événement marquant de notre histoire récente. Automne 2019. Cinq ans après le décès de son mari, Judith reprend goût à la vie grâce, entre autres, à la présence de ses petits-enfants, en particulier celle de Jasmin. Elle fait aussi du bénévolat dans une résidence pour personnes âgées. Cette nouvelle aventure, en plus de lui permettre de créer des liens forts, lui procure joie et sérénité.. Alors que ses enfants considèrent, malgré sa bonne santé, qu’elle devrait aller se «reposer» en RPA, elle s’indigne de la pression grandissante qu’on exerce sur elle. Pourquoi diable renoncerait-elle à son chez-soi et à son autonomie si chèrement acquise?. Quand frappent la pandémie et le confinement, tout bascule. Isolée, Judith doit survivre à la solitude ainsi qu’à l’inquiétude suscitée par le chaos innommable affectant sa vie, celle de sa famille, mais surtout celle de ses amis en résidence. Certains proches lui seront d’un grand secours, d’autres dévoileront des facettes plus sombres de la nature humaine.... «Ça va bien aller», qu’ils disaient? Pas pour tout le monde. Mais la tragédie fait parfois place à une étonnante résilience et se nouent alors les relations les plus significatives..