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« À huit heures vingt-quatre, ce vendredi 12 août 2016, Carl Mongeau émerge du sommeil sans se douter qu’aujourd’hui, sa vie basculera dans un cauchemar paranoïaque. » Pourtant, la journée de Carl, propriétaire du bar Le Lindsay à Drummondville, s’annonce normale. Le seul événement vraiment étrange est la visite de cette inconnue qui lui annonce quelque chose de troublant. Mais comme il s’agit sans doute d’une blague de mauvais goût, Carl se concentre plutôt sur les festivités du 20e anniversaire de son établissement. « … sauf qu’à partir de 17:05, l’anniversaire de son bistrot sera le dernier de ses soucis. Comme tout ce qui concerne l’organisation de son quotidien, d’ailleurs. »
Passionné par toutes les formes artistiques mettant en œuvre le suspense, le fantastique et la terreur, Patrick Senécal a publié, depuis vingt-cinq ans, une quinzaine de romans dans lesquels tension et émotions fortes sont toujours à l’honneur. Qu’il s’agisse de thrillers fantastiques ou de thrillers policiers, Senécal excelle dans l’art d’explorer le côté sombre de l’humain. Sur le seuil et 5150, rue des Ormes ont été portés au grand écran par Éric Tessier, Podz a réalisé Les Sept Jours du talion et Jeik Dion a adapté Aliss en BD en 2020.
« À huit heures vingt-quatre, ce vendredi 12 août 2016, Carl Mongeau émerge du sommeil sans se douter qu’aujourd’hui, sa vie basculera dans un cauchemar paranoïaque. Même si, comme tout le monde, il connaît son lot de petits problèmes et d’irritations diverses, il mène une existence somme toute frappée par les sceaux de la quiétude et de la sérénité, mais dans moins de neuf heures, ceux-ci disparaîtront, et ce, de façon définitive. » Pourtant, la journée de Carl, propriétaire du bar Le Lindsay à Drummondville, s’annonce normale. Le seul événement vraiment étrange est la visite de cette inconnue qui lui annonce quelque chose de troublant. Mais comme il s’agit sans doute d’une blague de mauvais goût, Carl se concentre plutôt sur les festivités du 20e anniversaire de son établissement qu’il prépare avec minutie. Car l’homme de cinquante et un ans, malgré quelques déceptions (comme sa séparation après vingt-huit ans de vie en couple) a toujours contrôlé son existence et aujourd’hui, il considère qu’il mène la vie presque parfaite qu’il mérite. « … sauf qu’à partir de 17:05, l’anniversaire de son bistrot sera le dernier de ses soucis. Comme tout ce qui concerne l’organisation de son quotidien, d’ailleurs. »