couverture

Lire la première phrase du Capital

Holloway, John

  • Éditeur : Libertalia
  • Collection : A boulets rouges
  • ISBN 9782918059585
  • Paru le 16 mars 2015
  • 14,95 $ *
  • Sciences sociales

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Résumé

Une réflexion sur la première phrase de l'oeuvre maîtresse de K. Marx, Le capital, qui prend le contre-pied des interprétations traditionnelles. L'auteur explique que le théoricien débute sa critique de l'économie politique avec la notion de richesse, et non pas de marchandise. Il appelle ainsi à ne pas considérer la marchandise comme un fait accompli.

Biographie de l'auteur.e

John Holloway enseigne à Puebla (Mexique). Sa proximité avec l'expérience zapatiste l'a amené à approfondir les questions liées aux formes de révolte et à la transformation révolutionnaire de la société. Il est l'auteur de deux ouvrages très discutés : Changer le monde sans prendre le pouvoir (Lux/Syllepse, 2007) et Crack Capitalism (Libertalia, 2012).

Quatrième de couverture

La théorie peut-elle nous aider à en finir avec le capitalisme ? C'est ce que suggère John Holloway. À contre-courant du marxisme orthodoxe, Lire la première phrase du Capital démontre que Marx ouvre sa critique de l'économie politique à partir de la «richesse» et non pas de la «marchandise». Penser la «richesse» en premier lieu, c'est-à-dire la force créatrice de l'humanité, c'est considérer que nous pouvons briser la cohésion sociale capitaliste. Dans Crise et critique, l'auteur nous invite à «casser» et à «ouvrir» les concepts classiques de l'économie politique qui se présentent comme neutres et homogènes. Derrière cette façade apparaît un monde d'insoumissions et d'antagonismes.