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Cet essai est le premier d’une série de trois sur les logiques de l’imaginaire. Le pluriel, incongru quand il s’agit de logique, vient signifier le caractère ouvert et multiforme des manifestations de l’imaginaire, dont les modes de déploiement connaissent des registres multiples, aussi variés que les formes culturelles qui en expriment l’action.
*Figures, lectures* est le premier tome d’une série de trois essais sur les logiques de l’imaginaire. Le pluriel, incongru quand il est question de logique, vient signifier le caractère ouvert et multiforme des manifestations de l’imaginaire. Il ne s’agit pas de dire que l’imaginaire a une logique propre, mais bien que ses modes de déploiement connaissent de multiples registres, aussi variés que les formes culturelles qui en expriment l’action. Cet essai traite des figures et de leurs modalités d’apparition, s’intéressant moins à la description de figures déjà établies qu’aux situations précises où des figures émergent et s’imposent à l’esprit. Qu’est-ce qui caractérise la figure comme signe? Dans quel contexte apparaît-elle? Quelles relations s’engagent à son contact? À partir d’analyses de textes contemporains (américains, français et québécois) sont examinées les diverses étapes de cette apparition: ce qu’elle présuppose (la première partie: «préfigure»), ce qu’elle engage (la deuxième: «figurer») et ce qu’il advient des formes ainsi générées (la troisième: «défigurer»). L’essai entend de la sorte tracer l’arc entier par lequel on se donne des figures.