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On est à Paris. Maximilien termine ses études au lycée. C’est l’année du bac. Il est très séduisant, sûr de lui, et il a beaucoup de succès auprès des filles. Jusque-là, la seule chose qui l’intéresse, c’est d’avoir du plaisir, sous toutes ses formes, dans des soirées un peu glauques où alcool, drogue et sexe sont monnaie courante. Mais au fond, la vie qu’il mène l’ennuie. C’est alors qu’Adrien, un jeune professeur, surgit et sème le trouble dans son esprit. Une relation amoureuse prend forme et il découvre l’homosexualité, s’ouvre à de nouveaux plaisirs. Très vite, c’est l’amour fou. Physique bien sûr, mais aussi très pur, très beau, une véritable communion entre deux êtres qui découvrent peu à peu leur âme. Mais les rapports avec Adrien, tourmenté par une récente rupture, sont compliqués. L’écriture fluide, la langue châtiée décrivent avec une profusion de détails l’atmosphère et l’évolution des sentiments. Et on a vraiment envie de savoir comment tout ça va finir.
Partagé culturellement entre la France et le Québec, Juan Joseph Ollu est né à Montréal. Écrivain et traducteur, il est passionné d’histoire, de littérature et de cinéma. Il est titulaire d’une bourse de la relève en littérature du Conseil des arts et des lettres du Québec pour l’écriture de Dolce vita. Dans son premier livre, un recueil de nouvelles intitulé Un balcon à Cannes (2012), il décrivait déjà l’intimité d’une jeunesse aussi sensible qu’impitoyable dans sa quête de liberté et d’absolu. Avec Dolce vita, son premier roman, l’analyse et le regard se font plus précis et insidieux, et les sentiments, plus extrêmes.