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Avec ces récits, le poète Jean Sioui pose un regard grave et amusé sur le Wendake de ses jeunes années. L’auteur s’amuse à reconstituer la géographie des jours d’un petit territoire peuplé de personnages singuliers et touchants, terrifiants parfois, pour l’enfant qu’il était, si on songe à la mère supérieure de l’école primaire ou à l’arracheur de dents, qui inspirait la crainte. Carnet de souvenirs, d’instants d’éternité, Yändata’ : l’éternité au bout de ma rue nous donne à découvrir le visage d’un village et la mémoire de ceux qui l’ont traversé.
Originaire de Wendake, Jean Sioui est titulaire d’un baccalauréat multidisciplinaire de l’Université Laval. En 1997, il a publié son premier recueil de poésie, Le pas de l’Indien , chez Le Loup de Gouttière, où il a aussi dirigé la collection jeunesse « Les loups rouges ». Il a ensuite fait paraître des contes pour la jeunesse et quelques recueils de poésie; son plus récent recueil est Au couchant de la terre promise (Mémoire d’encrier, 2021). Il a été professeur responsable de la résidence pour écrivains autochtones en début de carrière du Conseil des Arts du Canada pendant plusieurs années. En 2010, il a cofondé les Éditions Hannenorak avec son fils, Daniel Sioui.
Avec ces récits, le poète Jean Sioui pose un regard grave et amusé sur le Wendake de ses jeunes années. L’auteur s’amuse à reconstituer la géographie des jours d’un petit territoire peuplé de personnages singuliers et touchants, terrifiants parfois, pour l’enfant qu’il était, si on songe à la mère supérieure de l’école primaire ou à l’arracheur de dents, qui inspirait la crainte. Carnet de souvenirs, d’instants d’éternité, Yändata’ : l’éternité au bout de ma rue nous donne à découvrir le visage d’un village et la mémoire de ceux qui l’ont traversé.