couverture

Coeur sacré de Jeanne-Mance (Le)

Delisle dans la gueule de Sonia Cotten et Erika Soucy

Cotten, Sonia

  • Éditeur : Éditions du Quartz
  • ISBN 9782924031506
  • Paru le 29 août 2022
  • 18,00 $ *
  • Théâtre

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Résumé

LA COMÉDIENNE : Tu débordes de la fiction ! C’est pas réel, tout ça ! C’est de la littérature. Jeanne-Mance Delisle parle d’immolation, de sacrifice… Tu penses pas que les personnages existent pour être sacrifiés à notre place ? Pour qu’on ait accès, au moins un peu, au sacré sans se brûler ? […]

LA POÈTE : On a toujours fait des sacrifices humains pour calmer les dieux.

L’ÉCRIVAINE : Cette fois, c’est la fiction qui déborde. Comme dans la vraie vie, les victimes crient leur douleur. Les personnages, soumis à leurs histoires glauques, en ont assez. Faut les libérer. […] Moi, j’en peux pus des sacrifiés.

Ce texte théâtral n’est pas un hommage. Ce texte théâtral n’est même pas une pièce de théâtre.

Biographie de l'auteur.e

Le cœur sacré de Jeanne-Mance, genre d’essai théâtral s’il en est, est le fruit d’une immersion de Sonia Cotten et Erika Soucy dans l’œuvre de Jeanne-Mance Delisle, grande dramaturge québécoise née en Abitibi. Elles questionnent les textes et y projettent leur sensibilité, mais aussi leur posture citoyenne, à la rencontre des personnages de Delisle, de ce qu’ilels vivent, de leur sacrifice. En fouillant sans compromis cette œuvre aussi foisonnante qu’heurtante, elles décortiquent le sens du sacré et le pouvoir de la littérature.

Quatrième de couverture

LA COMÉDIENNE : Tu débordes de la fiction ! C’est pas réel, tout ça ! C’est de la littérature. Jeanne-Mance Delisle parle d’immolation, de sacrifice… Tu penses pas que les personnages existent pour être sacrifiés à notre place ? Pour qu’on ait accès, au moins un peu, au sacré sans se brûler ? […] . LA POÈTE : On a toujours fait des sacrifices humains pour calmer les dieux. . L’ÉCRIVAINE : Cette fois, c’est la fiction qui déborde. Comme dans la vraie vie, les victimes crient leur douleur. Les personnages, soumis à leurs histoires glauques, en ont assez. Faut les libérer. […] Moi, j’en peux pus des sacrifiés. . Ce texte théâtral n’est pas un hommage. Ce texte théâtral n’est même pas une pièce de théâtre..