couverture

Délier la langue

Pour un nouveau discours sur le français au Québec

Elchacar, Mireille

  • Éditeur : Alias
  • ISBN 9782924787830
  • Paru le 22 août 2022
  • 24,95 $ *
  • Essais

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Les anglicismes sont-ils encore une menace pour le français québécois?? Les jeunes font-ils de plus en plus de fautes d’orthographe?? Et si le problème n’était pas les locuteurs, mais l’orthographe française?? Et si on arrêtait de dénigrer le français québécois??

Biographie de l'auteur.e

Docteure en linguistique, Mireille Elchacar est professeure à l’Université TÉLUQ et chargée de cours à l’Université de Sherbrooke. Ses travaux en lexicologie et en lexicographie abordent des points sensibles de la langue au Québec, tels les anglicismes et les néologismes issus de revendications politiques. Elle est également membre de l’Institut Jacques-Couture, dont la mission d’accueil et d’échanges interculturels rejoint ses préoccupations sociales.

Quatrième de couverture

« Les discours négatifs sur le français québécois […] m’apparaissent comme un affront aux efforts titanesques déployés ces dernières décennies par de nombreux acteurs qui ont parfois dédié leur vie à améliorer le sort de la langue française au Québec. Je pense particulièrement à Jean-Claude Corbeil, qui vient de nous quitter en 2022, architecte de la loi 101 et des grands chantiers terminologiques ayant permis au français d’entrer dans la modernité. Je pense à tous les experts qui ont conçu des ouvrages de référence et autres outils en ligne pour consigner, décrire, enrichir et enseigner notre langue. Je pense aussi aux artistes, auteurs, chanteuses et autres poètes qui gardent notre langue vivante et porteuse de sens, d’identité. On ne peut pas faire comme si ces efforts étaient vains : ils ont porté fruit. Le français est en meilleure posture aujourd’hui, grâce à tout ce travail. Ne le dénigrons pas. ». Docteure en linguistique, Mireille Elchacar est professeure à l’Université TÉLUQ et chargée de cours à l’Université de Sherbrooke. Ses travaux en lexicologie et en lexicographie abordent des points sensibles de la langue au Québec, tels les anglicismes et les néologismes issus de revendications politiques. Elle est également membre de l’Institut Jacques-Couture, dont la mission d’accueil et d’échanges interculturels rejoint ses préoccupations sociales..