couverture

Vie romanesque des textes (La)

Traité de sociocritique

Popovic, Pierre

  • Éditeur : M éditeur
  • ISBN 9782924924440
  • Paru le 25 juin 2024
  • 29,95 $ *
  • Essais

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Résumé

« [I]l y a dans chacun des textes de Pierre Popovic, en plus de la précieuse mélancolie nervalienne, une énergie festive et contagieuse, un bonheur d’écrire et de penser en toute liberté. Le sociocritique convie ses lecteurs à une table imaginaire où il y en a littéralement pour tous les goûts, et il transforme l’analyse littéraire en une véritable aventure du langage. On ne s’ennuie jamais à lire Pierre Popovic : il n’y a pas une ligne qui soit fade, racoleuse, convenue. » (Michel Biron)

Biographie de l'auteur.e

Pierre Popovic est professeur émérite de l’Université de Montréal. Sociocriticien reconnu, essayiste, il a dirigé ou codirigé de nombreux ouvrages collectifs et a publié de nombreux articles dans des revues québécoises et internationales. On lui doit aussi de la théorie-fiction, des nouvelles et une collaboration régulière à la revue Spirale. Il a fondé en 2008 le Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes (CRIST).

Quatrième de couverture

« La sociocritique telle que la pratique Pierre Popovic est un appel à l’action, à la non-résignation. C’est une critique en acte, résolument accrochée à la parole vive qui résonne dans toute écriture digne de ce nom, nourrie par l’inventivité de la culture orale qui se mêle à la chose écrite, sensible aux imprévus de la syntaxe, aux interactions des points de vue, aux nuances des voix, à tout ce qui rend la langue présente au monde, profondément incarnée et plurielle. Qu’elle porte sur des corpus anciens ou récents, qu’elle privilégie des romans réalistes ou des poèmes soi-disant hermétiques (René Char, par exemple), qu’elle cite des chefs-d’œuvre ou des graffitis urbains, qu’elle examine les vertus de la métaphore ou qu’elle s’interroge sur l’écriture plate, cette sociocritique donne le sentiment et la sensation que la littérature, contrairement à ce que déplore une certaine critique nostalgique, n’est pas morte, qu’elle est même plus actuelle, plus vibrante et plus variée que jamais pour peu qu’on la lise vraiment, dans toutes ses potentialités signifiantes. » (Michel Biron).