couverture

Ocre rouge

Taggart, Marie-Françoise

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Résumé

Joyce Bell, élevée sur une réserve autochtone au nord d’Elizabethville, est la nouvelle chef du poste de police d’Aylmertree. Elle s’est donné pour mission de retrouver de jeunes femmes de sa communauté qui ont disparu. Ce faisant, elle découvre l’existence d’un réseau de prostitution juvénile impliquant des personnalités importantes de cette petite ville proprette. Secondée par son adjoint, l’agent Listerbie, alias Sqwiq, ainsi que par l’informaticien Kof, elle devra poursuivre ses recherches dans l’ombre. Ensemble, ils essaieront de déjouer les attaques du crime organisé local, qui continue de s’acharner sur d’innocentes victimes.

Biographie de l'auteur.e

Romancière, nouvelliste et parolière au Québec et en France, Marie-Françoise Taggart a écrit quatre romans, Paye-moi une bouffe, poète ! (VLB), Une affaire de vie ou de mort (Hurtubise), Baisée (Lanctôt) et Elizabethville (Éditions Mains libres), un premier polar publié à l’automne 2021. Native de Montréal, elle a vécu longtemps à l’étranger, adoptant tour à tour comme langue de communication l’anglais, l’espagnol, le japonais ou l’arabe. Ses premiers romans parlaient d’amour et de jeunesse dans un Montréal de fin de siècle, explorant des thèmes comme la mort, l’écriture, les amours impossibles et le monde des rêves. Plus récemment, l’autrice s’est tournée vers le polar littéraire.

Quatrième de couverture

Joyce Bell, élevée sur une réserve autochtone au nord d’Elizabethville, est la nouvelle chef du poste de police d’Aylmertree. Elle s’est donné pour mission de retrouver de jeunes femmes de sa communauté qui ont disparu. Ce faisant, elle découvre l’existence d’un réseau de prostitution juvénile impliquant des personnalités importantes de cette petite ville proprette. Secondée par son adjoint, l’agent Listerbie, alias Sqwiq, ainsi que par l’informaticien Kof, elle devra poursuivre ses recherches dans l’ombre. Ensemble, ils essaieront de déjouer les attaques du crime organisé local, qui continue de s’acharner sur d’innocentes victimes, à titre d’exemples, cette petite Québécoise tombée entre les mains de trafiquants d’êtres humains et ce sans-abri toxicomane, retenu prisonnier pour des fins mystérieuses. . Pendant ce temps, le pays entier n’a d’yeux que pour les œuvres hypnotiques d’un artiste anonyme qui signe, à l’ocre rouge, ses toiles du nom de « Le Révin », et qui fait fureur, tant dans les médias que dans les musées, avec son art tordu au slogan énigmatique : « Voir, c’est mourir un peu ». . Ocre rouge fait suite à Elizabethville, paru à l’automne 2021. On y retrouve d’ailleurs une partie de la faune attachante des personnages qui peuplaient ce polar littéraire unanimement salué par la critique..