couverture

Antre du poème (L')

Suivi de Archipoème et de Carnet de veille

Préfontaine, Yves

  • Éditeur : Éditions Mains Libres
  • ISBN 9782925197218
  • Paru le 6 septembre 2022
  • 23,95 $ *
  • Poésie

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

L’antre du poème, publié en 1960 et vite relégué dans l’ombre, a en effet connu des suites, récemment découvertes dans les archives de l’auteur, sous le titre d’Archipoème (1958-1962) et de Carnet de veille (1966-1980), sensiblement de même nature, à la fois poétique, aphoristique et autobiographique : « Du monologue au dialogue, un mur à franchir qui n’est pas le moins terrible ; le mur ancien de soi qui est en même temps celui de l’autre ». C’est un vrai bonheur de pouvoir donner à lire ces « braises ravivées » dans leur première flambée, puis dans ces nouveaux départs qui éclaire toute l’œuvre sous un autre jour, inédit, inouï, inattendu.

Biographie de l'auteur.e

Il est né à Montréal le 1er février 1937 et est décédé le 31 mars 2019. Membre fondateur des revues Situations et Le Québec libre en 1959, il s’est joint, ensuite, au comité de direction de la revue Liberté, a collaboré également à différents journaux dont Le Devoir, La Presse, et aux revues La Barredu jour, Possibles, Conjonctures, Estuaire, Moebius et Maintenant. En 1968, il a obtenu le prix France-Québec pour Pays sans parole, en 1990 le prix Québec-Paris pour sa rétrospective Parole tenue : poèmes 1954-1985, et en 2000 le prix Félix-Antoine-Savard de poésie pour une suite de poèmes publiée dans le numéro 19 de la revue Exit.

Quatrième de couverture

« Je n’ai pas écrit ces pages. Ces pages se sont écrites pour moi. Mûrissant plus ou moins, selon l’orage ou la densité des lueurs, une grappe un peu roide a chu. Le lecteur y trouvera une sorte de journal à forme aphoristique, une improvisation quotidienne, des notes prises comme l’on prend une piste où l’on se perd. Mais d’autres ombres, d’autres pôles, d’autres forêts plus loin nous aimantent. » . Yves Préfontaine . L’antre du poème, publié en 1960 et vite relégué dans l’ombre, a en effet connu des suites, récemment découvertes dans les archives de l’auteur, sous le titre d’Archipoème (1958-1962) et de Carnet de veille (1966-1980), sensiblement de même nature, à la fois poétique, aphoristique et autobiographique : « Du monologue au dialogue, un mur à franchir qui n’est pas le moins terrible ; le mur ancien de soi qui est en même temps celui de l’autre. Il faut parler, formuler au plus haut point où l’esprit se carbonise. » C’est un vrai bonheur de pouvoir donner à lire ces « braises ravivées » dans leur première flambée, où L’antre a vu le jour il y a plus d’un demi-siècle, puis dans ces nouveaux départs de feu que le Temps a étouffés, mais dont la Mémoire poétique ranime aujourd’hui les flammes en y injectant un nouveau souffle, qui éclaire toute l’œuvre sous un autre jour, inédit, inouï, inattendu..