couverture

Labyrinthe tonkinois

LeBlanc-Poirier, Daniel

  • Éditeur : Éditions Mains Libres
  • ISBN 9782925197331
  • Paru le 7 novembre 2023
  • 19,95 $ *
  • Poésie

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Résumé

Daniel Leblanc-Poirier regarde bien en face la réalité et nous en offre des parcelles, parfois saupoudrées de magie, ou aussi crues que les nourritures terrestres peuvent l’être. Souvent touchant, volontiers dur, le résultat nous parvient enrobé d’une certaine candeur. Toujours empreints de vérité, ses poèmes dévoilent une fragilité, mais ils font aussi voir la ténacité, la force et la capacité d’émerveillement qui sommeillent en chacun de nous. Ce qui ressemble à une dérive constitue en fait le trajet vers une forme de sérénité, la route de la réparation.

Biographie de l'auteur.e

Né en 1984 au Nouveau-Brunswick et vivant à Montréal, il est écrivain, auteur-compositeur et technicien en génie civil. Il a publié plusieurs recueils de poésie, dont Mélasse, et a été récompensé, entre autres, par les prix Félix-Leclerc et Jean-Lafrenière – Zénob du Festival international de la poésie de Trois-Rivières. Il est l’auteur de quatre romans, parmi lesquels Le cinquième corridor (finaliste aux prix Antonine-Maillet et Champlain) et La disparition des miroirs. Daniel Leblanc-Poirier a aussi été collaborateur à diverses émissions de Radio-Canada, tenant une chronique, entre autres, à L’effet Pogonat sur ICI Musique, ou à Plus on est de fous, plus on lit, à ICI Première.

Quatrième de couverture

Daniel Leblanc-Poirier regarde bien en face la réalité et nous en offre des parcelles, parfois saupoudrées de magie, ou aussi crues que les nourritures terrestres peuvent l’être. Souvent touchant, volontiers dur, le résultat nous parvient enrobé d’une certaine candeur. Toujours empreints de vérité, ses poèmes dévoilent une fragilité, mais ils font aussi voir la ténacité, la force et la capacité d’émerveillement qui sommeillent en chacun de nous. Ce qui ressemble à une dérive constitue en fait le trajet vers une forme de sérénité, la route de la réparation. . je vois ta délivrance la substance piquante dans les recoins de ton sentiment un labyrinthe qui se nourrit de la matière qu’on cache derrière une toast quand on n’a pas faim je te demande par où aller pour retourner chez moi et tu te gardes de me le dire repartant au loin avec un sourire jeté par-dessus ton épaule j’erre une partie de la nuit imbibé de ton sentiment de chevelure je me replie en moi comme un zeste dans le fond d’un verre vide.