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Parodie à mi-chemin entre le Marquis de Sade et le pire cauchemar de Denise Bombardier, tantôt journal de confinement, tantôt récit de sodomites, cet ouvrage exhibe les mémoires de Margot et Sergio, deux bourgeois décomplexés qui errent dans leurs lubies, cloîtrés dans un énorme manoir en compagnie de leurs domestiques et d’une brochette d’invités qui ne gagnent pas toujours à être connus, dont la COVID.
Le personnage de Gran Talen sévit sur Facebook depuis 2012 et donne dans ce que l’on pourrait qualifier de caricature littéraire 2.0. Jonglant avec une langue qui emprunte autant au Faubourg Saint-Germain qu’au Couche-Tard de Joliette, celui qui s’affuble lui-même du titre de Sol des pauvres se déconfine enfin du Net le temps d’un roman, son premier, dans lequel l’humour noir (ou brun) taquine la noblesse sur fond de pandémie mondiale. . Parodie à mi-chemin entre le Marquis de Sade et le pire cauchemar de Denise Bombardier, tantôt journal de confinement, tantôt récit de sodomites, cet ouvrage exhibe les mémoires de Margot et Sergio, deux bourgeois décomplexés qui errent dans leurs lubies, cloîtrés dans un énorme manoir en compagnie de leurs domestiques et d’une brochette d’invités qui ne gagnent pas toujours à être connus, dont la COVID. . « Si le désespoir est la maladie de notre temps, Gran Talen en est un des boutons. Un bouton hilare et disgracieux, un vrai clou de fesse qui pique, qui nous dit malgré la pub, malgré les discours ronflants, que ça ne va pas (…) ». – Matthieu Dugal.