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Écrits pour la plupart lors de voyages souterrains dans le Métro, les poèmes de ce recueil font éloge à la pluralité des âmes, beauté vivifiante dont ne peut que se sustenter savoureusement la poète. À la cime de mes racines, un miroir sur ma tête, est aussi une quête de parcours ou plutôt l'appréhension d'un destin assoiffé qui cherche constamment à se définir : « ...je croise le fer au divin ou à la simple étoile, contractant le froid en son néant / là où la brume écrit mes idées sur un canevas de siècles ».
Née à Montréal dans le sud-ouest de l’île, Mariève Maréchal s’est intéressée très jeune à la poésie. Essentiellement autodidacte, elle écrit ce premier recueil en 2 ans avant que son talent ne lui ouvre la porte aux études universitaires. Âgé de 21 ans, mademoiselle Maréchal écrit pour vivre et fourmille mille et un projet soit de l’écriture poétique en vers jusqu'à celle du théâtre et de l’opéra.
Née à Montréal dans le sud-ouest de l’île, Mariève Maréchal s’est intéressée très jeune à la poésie. Essentiellement autodidacte, elle écrit ce premier recueil en 2 ans avant que son talent ne lui ouvre la porte aux études universitaires. Âgé de 21 ans, mademoiselle Maréchal écrit pour vivre et fourmille mille et un projet soit de l’écriture poétique en vers jusqu'à celle du théâtre et de l’opéra.Écris pour la plupart lors de voyages souterrains dans le METRO, les poèmes de ce recueil font éloge à la pluralité des âmes, beauté vivifiante dont ne peut que se sustenter savoureusement la poète. À la cime de mes racines, un miroir sur ma tête, est aussi une quête de parcours ou plutôt l’appréhension d’un destin assoiffé qui cherche constamment à se définir : « …je croise le fer au divin ou à la simple étoile, contractant le froid en son néant, là où la brume écrit mes idées sur un canevas de siècles ».