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Des poèmes en prose dans lesquels on trouve l'essence du travail de D. Fante : mariages ratés, amours naissantes, nostalgie du père et du frère, l'alcool, la solitude, l'humilité...
Dan Fante de l'alcool dur et du génie . À Milan j'ai rencontré un écrivain américain [...]. L'histoire c'est qu'il n'était pas heureux qu'il liquidait ses économies avec une copine à longues jambes mais sûr de son talent de sa culture. Il m'apprit qu'il parlait trois langues avait un doctorat et traduisait Dos-toy-merd-evsky mais depuis deux ans il n'avait pas écrit une ligne de son grand oeuvre de cinq cents pages. [...]. il m'a demandé mon avis comment se consacre-t-on à son art. [...]. Les écrivains qui n'écrivent pas, dis-je c'est comme les putes qui ne sucent pas ils devraient changer de métier faire cuistot chez McDo ou postier en Italie. Il ne m'a pas remercié ni salué mais il a payé l'addition. « Dan Fante écrit avec tendresse. Il dit : "Le cadeau que John Fante, mon père, m'a offert, c'est son coeur pur d'écrivain." De toute évidence ce cadeau était mérité. Malgré le gin, les drogues, la pauvreté et le désespoir, Dan Fante a préservé la pureté du coeur de son père, et il sait, dans ses poèmes, nous raconter de très belles histoires. »
Fernanda Pivano. « La dernière fois que j'ai vu Dan Fante, c'était à l'enterrement de son père. J'ai lu ses bouquins et je tiens à te dire : "John, ne t'en fais pas. Ton fils est un putain d'écrivain. Tu peux être fier de lui. Maintenant son nom lui appartient." »
Ben Pleasants.