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Publié pour la première fois en 1974 aux Etats-Unis, cet ouvrage analyse et célèbre les formes de la subversion au cinéma, en passant en revue un ensemble de films à travers des textes théoriques et plusieurs centaines de notules. Amos Vogel est le fondateur et le programmateur du Cinema 16, le plus influent ciné-club d’avant-garde new-yorkais.
« Le Cinéma, art subversif occupe une place exceptionnelle, sinon unique, dans la littérature déjà abondante sur le cinéma. Ses images éclairantes et son texte en font une oeuvre inestimable. »
- Luis Buñuel. « Si vous cherchez les origines de la culture cinématographique aux États-Unis, ne cherchez pas plus loin qu'Amos Vogel. Aucun doute, cet homme était un géant. »
- Martin Scorsese. « Certainement le livre le plus passionnant et le plus complet que j'ai lu sur le cinéma underground et d'avant-garde ainsi que sur le meilleur du cinéma commercial. »
- Norman Mailer. « Amos Vogel est la conscience morale du monde du cinéma. »
- Werner Herzog. « Un des grands défricheurs du cinéma d'avant-garde. »
- Yoko Ono. Le Cinéma, art subversif est un livre culte dans l'histoire de la cinéphilie, cité en référence par de nombreux cinéastes et artistes depuis sa parution en 1974. Célébrant les formes de la subversion au cinéma, Amos Vogel analyse comment les films peuvent contourner, transgresser ou annihiler les règles et les conventions établies, qu'elles soient esthétiques ou morales. Illustré par plus de 300 images, souvent sidérantes, l'ouvrage alterne textes théoriques et notules critiques, consacrées aussi bien à des oeuvres célèbres qu'à des films inconnus, de tous pays et de toutes époques. Contre les tabous, contre toute forme de censure, c'est une ode à la liberté cinématographique.. Traduit en français en 1977, Le Cinéma, art subversif n'avait jamais été réédité. À l'heure où la subversion, reléguée dans les marges, semble avoir déserté les écrans, il apparaît plus indispensable que jamais..