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Témoignage d'un des acteurs principaux de la contre-culture. Pendant les années 1960, M. Barry dirige le label musical Zapple, qui produit notamment les Beatles, et fonde le journal anticonformiste International times. Il a rencontré tous les artistes des sixties, de la littérature et de la musique.
« Si vous ne vous souvenez pas de Miles dans les Sixties, c'est que vous n'y étiez pas vraiment. ». Durant cette décennie, Barry Miles dirige le label Zapple des Beatles et loge au légendaire Chelsea Hotel de New York, mais il écume aussi la Californie. À Londres, il anime la librairie-galerie Indica, véritable centre névralgique où John Lennon et Yoko Ono se rencontrent. Il fonde l'International Times, journal anticonformiste qui influence toute la free press, dont Actuel en France. Toujours au bon endroit aux moments charnières de l'histoire, il nous fait partager une grisante farandole révolutionnaire.. Miles confie ses aventures en compagnie des Beatles, des Rolling Stones, du Pink Floyd, de Marianne Faithfull, de |ohn Dunbar, de Leonard Cohen ou de Frank Zappa. Mais son plus grand amour allant peut-être à la littérature, il offre également des portraits mémorables d'Allen Ginsberg, William Burroughs, Lawrence Ferlinghetti, Henry Miller, Ken Kesey, Charles Oison, Claude Pélieu, Richard Brautigan ou Charles Bukowski.. « En plein epicentre d'un tremblement de terre culturel. »
The Sunday Times . « Barry Miles expose la philosophie de la révolution. Il passe au crible les multiples gisements de la contre-culture. Il est le représentant livresque essentiel de l'underground. »
Uncut . In the sixties .